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Communiqué de presse
24 mai 2023
L’ONU observera la Journée internationale des Casques bleus le 25 mai
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Communiqué de presse
19 mai 2023
Les organisations humanitaires au Tchad ont un besoin urgent de financement pour répondre aux besoins des réfugiés et des rapatriés du Soudan.
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Histoire
31 mars 2023
Consultation sur le nouveau cadre de coopération 2024-2026 entre le Gouvernement et le système des Nations Unies
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Les objectifs de développement durable au Tchad
Les objectifs de développement durable (ODD), également appelés objectifs globaux, constituent un appel universel à l'action visant à éliminer la pauvreté, à protéger la planète et à garantir à tous les peuples la paix et la prospérité. Ce sont aussi les objectifs de l'ONU au Tchad:
Histoire
16 novembre 2022
Appel à agir au plus vite dans la province du Lac au Tchad
La mission conjointe de l'équipe humanitaire pays, conduite par Mme Violette Kakyomya, Coordonnatrice humanitaire, y compris M. Idriss Bachar Aky, Directeur général du ministère des Affaires foncières, SEM Gordon Kricke, Ambassadeur de la République d'Allemagne, M. Dieudonné Bamouni, Chef de bureau OCHA, M. Joel Kakitsha, Coordonnateur d’urgence UNFPA, et M. Papy Kabwe, Chef de mission Intersos, s’est rendue dans la province du Lac et a constaté la mise en place du comité de gestion de crise liée aux inondations, créé par le gouverneur avec l’appui des humanitaires.
Plus de 45,000 personnes ont été affectées par les inondations pluviales dans la province du Lac. Avec la montée des eaux provenant du Chari, il est estimé que 100 000 autres personnes seront affectées, dont plusieurs d’entre elles qui vivent déjà sur des sites isolés et de fortune. En préparation, le comité de gestion de crise a identifié 8 sites potentiels pour accueillir les sinistrés, cependant un travail important d’aménagement des sites est nécessaire puisqu’il n’y a absolument rien sur place. A ce titre, une mission d’évaluation pour mieux appréhender les besoins multisectoriels d’urgence est en cours de planification.
Une fois rendu sur le terrain, les membres de la mission ont constatés que des sites spontanés était déjà occupés. Dans le site spontané de Yakoua, par exemple, les personnes déplacées n’ont reçu que des biscuits énergétiques et les kits d’hygiène pour femmes. Ils se contentent donc de construire des abris de fortunes et n’ont pas accès à des infrastructures sanitaires, ni d’hygiène.
A ce jour, selon le comité, sur les cinq départements de la province du Lac, les départements de Mandi et Kaya ont déjà été affectés. 25 localités ont été touchés, dont certains totalement disparu.
Le plan de réponse national aux inondations, qui nécessite 70 millions de dollars, n'est actuellement financé qu'à hauteur de 28 %. Tout le monde (Acteurs étatiques, acteurs humanitaire, acteur de développement et partenaires financiers) doit se mobiliser. Plus tard sera tard. C’est maintenant que ces personnes sinistrées du Lac ont urgemment besoin de notre assistance et de notre solidarité.
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Histoire
02 mars 2021
“Les Nations Unies protègent les droits et le bien-être des réfugiés et des autres personnes qui ont été forcées de fuir”
La Coordonnatrice résidente du système des Nations Unies et coordonnatrice humanitaire au Tchad, Madame Violette Kakyomya accompagnée des représentants du HCR, Monsieur Papa Kysma Sylla et de l’UNFPA, Dr Sennen Hounton, de la Chef de Bureau de OCHA au Tchad Madame Belinda Holdsworth, et des chefs de bureau du PAM, de l’OMS et de l’UNICEF a effectué une mission du 23 au 26 février 2021 dans la province du Ouaddaï. L’objectif de cette mission de terrain était d’apprécier les interventions multisectorielles des Agences des Nations Unies dans la province, d’échanger avec les autorités locales et apprécier la réponse du HCR et ses partenaires à l’afflux des nouveaux réfugiés soudanais. La Coordonnatrice résidente du système des Nations Unies a rencontré les comités contre les violences sexuelles et sexistes (SGBV) et les groupes des pairs-éducateurs SGBV des camps de farchana (premier camp ouvert à l’Est du Tchad le 17 janvier 2004) et Kouchaguine-Moura (le dernier ouvert le 04 février 2019). « Les conséquences des violences sexuelles et sexistes sont dévastatrices. L’objectif principal des Nations Unies est de protéger les droits et le bien-être des réfugiés et des autres personnes qui ont été forcées de fuir » a déclaré la Coordonnatrice résidente du système des Nations Unies et coordonnatrice humanitaire au Tchad, Madame Violette Kakyomya marquant ainsi sa solidarité avec les survivantes. Toujours à Kouchaguine-Moura la Coordonnatrice résidente a remis des kits de dignité de base à quelques femmes membres du comité de femmes du camp. Ce kit est composé d’un minimum d’articles pour une femme dans des moments de vulnérabilité (savon, brosse à dent, serviette hygiénique, dentifrice, …). Avec le Gouverneur de la province du Ouaddaï, Madame Violette Kakyomya a essentiellement échangé sur les impacts positifs des programmes conjoints en faveur des réfugiés et de la population hôte. Ces programmes contribueront à améliorer davantage la cohabitation pacifique déjà existante, témoigne le Gouverneur, le General Brahim Seid Mahamat.
A Abéché, chef-lieu de la province du Ouaddaï et Farchana, Madame Violette Kakyomya a eu des échanges avec toutes les agences des Nations Unies et ONGs Nationales et internationales. Pour elle, les Nations Unies au Tchad opte pour le principe de partenariat de la Plateforme Humanitaire Globale qui établit des standards communs parmi tous les groupes humanitaires en matière d’égalité, de transparence, de complémentarité et de ciblage sur les résultats. Cet appel s'inscrit dans le cadre des consultations annuelles du HCR avec les ONG, coorganisées par le HCR et le Conseil international des agences bénévoles (ICVA). Au cours des echanges à Kouchaguine-Moura, Sarah, 27 ans a indiqué : « pour l’heure, je n’ai aucune intention de retourner au Soudan. Mon seul souci est de trouver une activité génératrice de revenu qui me permettra d’être autonome et de rester au Tchad ». À la fin de sa mission, la Coordonnatrice résidente du système des Nations Unies a visité le 25 février 2021 les points d’entrée des réfugiés soudanais à Adré (département d’Assoungah) et le site de transit avant leur transfert au camp de Kouchaguine-Moura (département de Ouara, à environ 170 Km de la frontière Tchad/Soudan). Elle a aussi participé au 8 -ème convoi de transfert des nouveaux réfugiés vers le camp de Kouchaguine-Moura.
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Histoire
31 mars 2023
Consultation sur le nouveau cadre de coopération 2024-2026 entre le Gouvernement et le système des Nations Unies
Le gouvernement du Tchad sous la conduite du ministre de la Prospective économique et des Partenariats internationaux, M. Moussa Batraki, en collaboration avec l'équipe pays des Nations unies au Tchad, dirigée par Mme Violette Kakyomya, coordonnatrice résidente du système des Nations unies, a organisé le 31 mars un atelier d'échanges et de consultations avec les membres du gouvernement sur les priorités du nouveau gouvernement et le Cadre de coopération des Nations unies (UNSDCF) pour la période 2024-2026.
A l'ouverture de l'atelier de consultation entre le gouvernement et le système des Nations unies au Tchad, Mme Violette Kakyomya a expliqué que le cadre de coopération est le principal outil de planification et de redevabilité entre l'équipe pays des Nations unies et le gouvernement. Il décrit le soutien collectif du système des Nations Unies pour aider à atteindre les priorités nationales.
Pour le ministre de la Prospective économique, M. Moussa Batraki, ce cadre de coopération qui est proposé pour la période 2024 -2026 est aligné sur la feuille de route de cette deuxième phase de la transition politique, ainsi que sur le Plan national de développement (PND). Le processus de formulation a été initié sur la base de l'évaluation du cadre de coopération actuel qui se termine cette année 2023, et de l'Agenda 2030.
Pour le ministre de la Prospective économique, M. Moussa Batraki, ce cadre de coopération qui est proposé pour la période 2024 -2026 est aligné sur la feuille de route de cette deuxième phase de la transition politique, ainsi que sur le Plan national de développement (PND). Le processus de formulation a été initié sur la base de l'évaluation du cadre de coopération actuel qui se termine cette année 2023, et de l'Agenda 2030.
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Histoire
13 mars 2023
Accord de près de 4,5 millions de dollars pour le Tchad
L'Agence des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) et le Gouvernement du Japon ont signé un accord de près de 4,5 millions de dollars (2,76 milliards de FCFA) pour fournir une assistance humanitaire aux réfugiés, aux déplacés internes et aux communautés d'accueil au Tchad. L'ONU Tchad est très reconnaissante au Japon pour son soutien multiforme.
Cette contribution comble le déficit de financement pour assurer l'accès aux services de base pour environ 45 000 réfugiés centrafricains et plus de 200 000 Tchadiens déplacés dans la province du lac Tchad. L'argent sera utilisé pour renforcer l'accès aux services sociaux de base tels que la protection, la santé, l'éducation, l'eau, l'hygiène et l'assainissement, et les abris pour les populations déplacées, y compris les femmes et les enfants, et les communautés d'accueil.
Le financement du Japon est le résultat de l'annonce faite par le pays lors de la septième conférence internationale de Tokyo sur le développement de l'Afrique.
Le financement du Japon est le résultat de l'annonce faite par le pays lors de la septième conférence internationale de Tokyo sur le développement de l'Afrique.
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Histoire
08 mars 2023
Journée Internationale de la Femme, édition2023
Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat
Monsieur le Premier Ministre du Gouvernement de l’Union Nationale
Monsieur le Président du Conseil National de Transition
Mesdames et Messieurs les Présidents des Grandes Institutions de la République
Madame la Ministre du Genre et de la Solidarité Nationale
Mesdames et Messieurs les membres du Gouvernement
Mesdames et Messieurs les Chefs des Missions Diplomatiques et Représentants des Organisations Internationales
Madame le Délégué Générale du Gouvernement auprès de la Commune de N’Djamena,
Monsieur le Maire de la ville de N’Djamena
Sa Majesté, le Sultan de N’Djamena
Distingués invités, Mesdames et Messieurs
Depuis 1977, l'Organisation des Nations Unies (ONU) célèbre le 8 mars comme la journée internationale des droits des femmes. Et aujourd’hui, le Tchad, à l’instar des autres nations du monde entier, s’engage une fois de plus, dans cet élan de commémoration, marquant ainsi son engagement à bâtir une Union qui ne laisse personne de côté.
Cette journée de sensibilisation et de mobilisation offre l’opportunité de reconnaitre les progrès réalisés en matière de lutte pour les droits des femmes, d’apprécier et de célébrer les actes des femmes qui contribuent à façonner l’histoire du Tchad, d’écouter leurs revendications et d’évaluer le chemin qui reste à parcourir pour parvenir à l’égalité de genre.
Je profite de l’occasion pour saluer les efforts fournis par le gouvernement pour accorder à la femme tchadienne, une place de choix en tant qu’actrice de développement et de consolidation de la paix.
Mesdames et Messieurs,
Le Tchad a célébré cette année la Semaine Nationale de la Femme Tchadienne (SENAFET) sous le thème : « Femme, Paix, sécurité, justice et réconciliation pour un Tchad égalitaire ». Ce thème est opportun et s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’action national de la Résolution 1325 du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur l’agenda Femme, paix et sécurité, récemment adopté par le Gouvernement d’Union Nationale.
Le Système des Nations Unies a accompagné le Gouvernement dans ses efforts de promotion de la participation des femmes au processus de consolidation de la paix et de la sécurité à travers :
L’appui à l’élaboration et à l’adoption du plan d’action national de la R1325 sur la femme, la paix et la sécurité
L’appui pour la participation significative des femmes au Dialogue National Inclusif et Souverain
La réalisation d’une étude en cours sur les leviers socio culturels facilitant la contribution des femmes à la paix, la cohésion sociale et la cohabitation pacifique
Le décret présidentiel portant création de l’Observatoire de Promotion de l’Egalité de Genre (OPEEG) pour ne citer que ceux-là.
Mesdames et Messieurs,
Le thème de la Journée internationale des femmes édition 2023 intitulé : « Pour un monde digital inclusif : innovation et technologies pour l’égalité des sexes », met en évidence l’importance des technologies inclusives et transformatrices et d’une éducation numérique. Ce thème invite les pays à porter davantage de réflexions et d’explorer l’impact de l’écart entre les sexes dans le numérique, sur l’élargissement des inégalités économiques et sociales. Il met également en évidence la nécessité de protéger les droits des femmes et des filles dans les espaces numériques et de s’attaquer à la violence basée sur le genre en ligne. Une approche sensible à l’égalité de genre en matière d’innovation, de technologies et d’éducation numériques peut sensibiliser davantage les femmes et les filles à leurs droits et à leur engagement civique.
Les progrès en matière de technologies numériques offrent d’immenses possibilités de relever les défis du développement même si, les inégalités deviennent de plus en plus évidentes dans les compétences numériques et l’accès aux technologies et que les femmes sont laissées pour compte en raison de cette fracture numérique entre les sexes.
Selon rapport « Gros plan sur l’égalité des sexes 2022 » d’ONU Femmes, à l’échelle mondiale, les femmes n’occupent que 02 emplois sur 10 dans les sciences, l’ingénierie, les technologies de l’information et de la communication (TIC). Dans les 20 plus grandes entreprises technologiques mondiales, les femmes représentent 33% de la main-d’œuvre, mais occupent seulement 01 poste de direction sur 04. Quant aux inventrices, elles ne représentent que 16,5% des inventeurs inscrits sur les demandes internationales de brevet dans le monde.
C’est fort de ce constat que le Secrétaire Général des Nations Unies, Mr ANTONION GUTERES dans son message à l’occasion de la Journée internationale de la Femme édition 2023, a déclaré et je cite : « Nous devons agir sur plusieurs fronts pour faire en sorte que les femmes et les filles puissent contribuer pleinement au savoir universel sur les plans scientifique et technologique. Nous devons faire tomber les barrières, qu’il s’agisse de données discriminatoires ou de stéréotypes qui détournent les filles des disciplines scientifiques dès leur plus jeune âge. Les décideurs de tous bords doivent élargir la participation des femmes et leur accès aux plus hautes responsabilités dans le domaine de la science et de la technologie, au moyen de quotas si nécessaire. Nous devons également agir pour offrir aux femmes un environnement numérique sûr et mettre fin à l’impunité des auteurs d’agressions en ligne et des plateformes numériques qui leur permettent de perpétrer de tels actes. Investir en faveur des femmes et des filles est le moyen le plus sûr d’améliorer le sort de toutes les personnes, communautés et pays, et de mener à bien le Programme de développement durable à l’horizon 2030. Ensemble, construisons un monde plus inclusif, plus juste et plus prospère pour les femmes et les filles, les hommes et les garçons, partout dans le monde » Fin de citation
Mesdames et Messieurs, distingués invités
Le Tchad a développé son Plan Stratégique de Développement du Numérique et des Postes pour la période 2020-2030 dont le quatrième axe repose sur le développement du capital humain pour promouvoir la recherche scientifique. Il est important de prendre en compte la fracture numérique liée au genre dans la réalisation de cet axe.
Au Tchad, il y a des femmes qui ont réussi à se faire une place dans l’univers fortement masculin du numérique. Je voudrais parler des femmes et filles Développeuses, entrepreneures et communicatrices digitales, Greentech, alliant l’agriculture bio et digitale pour ne citer que ces quelques exemples. Ces femmes sont à encourager car elles sont des modèles locaux pouvant inspirer les jeunes filles. Le Système des Nations Unies à travers le Laboratoire de l’innovation ainsi que d’autres initiatives telles que Kelou digitale, U-Reports etc. contribuent à accroitre l’accès des femmes et filles tchadiennes au numérique.
Pour terminer mon propos, je voudrais, au nom de l’ensemble de l’Equipe pays du Système des Nations Unies au Tchad, souhaiter à mes sœurs tchadiennes, une excellente Journée Internationale de la femme tout en les encourageant à poursuivre la lutte pour l'égalité dans tous les domaines.
Je vous remercie.
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Histoire
08 mars 2023
MESSAGE À L’OCCASION DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES FEMMES
Selon les dernières prévisions, au rythme actuel, il faudra encore 300 ans pour atteindre la pleine égalité des genres.
Aujourd’hui, les femmes et les filles sont les premières et les plus durement touchées par les crises qui s’enchaînent, de la guerre en Ukraine à l’urgence climatique. Sur fond de recul mondial de la démocratie, les droits des femmes de disposer de leur corps et d’avoir le contrôle de leur vie sont remis en question et bafoués.
Deux statistiques témoignent très clairement de notre échec.
D’une part, toutes les dix minutes, une femme ou une fille est assassinée par un membre de sa famille ou un partenaire intime.
D’autre part, toutes les deux minutes, une femme meurt pendant la grossesse ou l’accouchement. La plupart de ces décès pourraient parfaitement être évités.
En cette journée internationale des femmes, nous devons nous engager à faire mieux. Nous devons inverser ces terribles tendances et lutter afin de préserver la vie et les droits des femmes et des filles partout dans le monde.
C’est l’une de mes principales priorités et un élément central du travail de l’Organisation des Nations Unies dans le monde entier.
Du Soudan du Sud au Myanmar, nous soutenons les femmes et les filles dans les situations de crise et veillons à ce que leurs voix soient entendues dans les processus de paix.
La Vice-Secrétaire générale, Amina Mohammed, s’est récemment rendue en Afghanistan avec un message pour les autorités : les femmes et les filles ont des droits humains fondamentaux et nous ne cesserons jamais de les défendre.
Cette année, la Journée internationale des femmes a pour thème principal la réduction des disparités entre femmes et hommes dans les domaines de la science, de la technologie et de l’innovation. À l’échelle mondiale, les hommes ont 21 % de chances de plus que les femmes d’être en ligne – un écart qui dépasse 50 % dans les pays à faible revenu.
Mais même les pays les plus riches paient le prix des stéréotypes liés au genre et des préjugés hérités du passé. Dans le secteur des technologies, les hommes sont deux fois plus nombreux que les femmes. Dans le domaine de l’intelligence artificielle, la proportion s’élève à cinq contre une.
Les big data sont devenues un bien précieux et un élément essentiel à la prise des décisions politiques et économiques. Mais elles prennent rarement en compte les différences entre les genres – voire le genre féminin tout court.
Nous devrions tous être alarmés par le fait que des produits et services intègrent, dès leur conception, la marque de l’inégalité entre les genres et font entrer le patriarcat et la misogynie dans la sphère numérique. Les Silicon Valleys de ce monde ne doivent pas se transformer en vallées de la mort pour les droits des femmes.
Les décisions médicales fondées sur des données relatives au corps masculin peuvent être dangereuses lorsqu’elles s’appliquent à une femme. Pire, elles peuvent être mortelles.
La discrimination que subissent les femmes dans le domaine de la science et de la technologie est le résultat de siècles de patriarcat, d’inégalités et de stéréotypes néfastes. Les femmes ne représentent que 3 % des personnes récompensées par un prix Nobel dans les catégories scientifiques depuis 1901. Par ailleurs, les femmes en ligne, notamment les scientifiques et les journalistes, sont souvent la cible de discours haineux et d’agressions sexistes qui visent à les dénigrer et à les réduire au silence.
Mais elles continueront de faire entendre leur voix. Partout, les femmes et les filles réclament leurs droits, et leurs paroles résonnent dans le monde entier.
Nous devons agir sur plusieurs fronts pour faire en sorte que les femmes et les filles puissent contribuer pleinement au savoir universel sur les plans scientifique et technologique.
Nous devons faire tomber les barrières, qu’il s’agisse de données discriminatoires ou de stéréotypes qui détournent les filles des disciplines scientifiques dès leur plus jeune âge.
Les décideurs de tous bords doivent élargir la participation des femmes et leur accès aux plus hautes responsabilités dans le domaine de la science et de la technologie, au moyen de quotas si nécessaire.
Ils doivent être créatifs, élargir leur vivier de recrutement et sélectionner des candidatures en fonction des compétences requises. Ils doivent aussi être persévérants. L’égalité des genres n’arrivera pas toute seule : il faut en faire une priorité et une aspiration. Cette approche donne des résultats à l’ONU, où nous avons mis en place une stratégie pour la parité des genres au sein de notre personnel.
Nous devons également agir pour offrir aux femmes un environnement numérique sûr et mettre fin à l’impunité des auteurs d’agressions en ligne et des plateformes numériques qui leur permettent de perpétrer de tels actes.
L’Organisation des Nations Unies travaille avec les États, la société civile, le secteur privé et d’autres à l’élaboration d’un Code de conduite visant à réduire la malveillance et l’impunité qui règnent sur les plateformes numériques, tout en défendant la liberté d’expression.
Les droits des femmes ne sont pas un luxe dont nous pourrions nous passer en attendant d’avoir enrayé la crise climatique, mis fin à la pauvreté et créé un monde meilleur.
Investir en faveur des femmes et des filles est le moyen le plus sûr d’améliorer le sort de toutes les personnes, communautés et pays, et de mener à bien le Programme de développement durable à l’horizon 2030. Ensemble, construisons un monde plus inclusif, plus juste et plus prospère pour les femmes et les filles, les hommes et les garçons, partout dans le monde.
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Histoire
13 mars 2023
Appui à la transition politique au Tchad
L'équipe de la Division de l'assistance électorale du Bureau des Nations Unies, dirigée par M. Akinyemi Adegbola et déployée à la demande du gouvernement, a commencé ce matin sa mission d'évaluation des besoins électoraux au Tchad. L'équipe tiendra une série de réunions avec les parties prenantes impliquées dans le processus des élections référendaires, ainsi que les partenaires techniques et financiers.
Au deux premiers jours, l'équipe de la mission d'évaluation des besoins électoraux a été reçue par le Premier Ministre de la transition M. Saleh Kebzabo. Et le ministre de l'Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Bonne gouvernance, M. Limane Mahamat et la secrétaire d'État au ministère de la Prospective économique et des Partenariats internationaux Mme Madeleine Alingué. Les discussions ont porté sur la nécessité de favoriser les conditions pour des élections transparentes, libres et démocratiques, et ce, à travers la mise en place d’un cadre de concertation politique ouvert à tous les partis politiques.
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Communiqué de presse
05 juin 2023
L’ONU observera la Journée internationale des Casques bleus le 25 mai
La Journée internationale des Casques bleus de l’ONU sera observée le jeudi 25 mai 2023 au siège de l’Organisation, à New York.
Cette année marque le 75e anniversaire du maintien de la paix des Nations Unies. En 1948, la première opération de maintien de la paix de l’ONU, a été déployée au Moyen-Orient pour superviser la mise en œuvre des accords d'armistice israélo-arabes, sous le nom d’Organisation des Nations Unies chargée de la surveillance de la trêve au Moyen-Orient (ONUST). Depuis, plus de deux millions d'hommes et de femmes provenant de 125 pays ont servi dans 71 missions de maintien de la paix à travers le monde. Actuellement, près de 87 000 hommes et femmes sont présents dans 12 zones de conflits en Afrique, en Asie, en Europe et au Moyen-Orient.
Le Tchad est le 13e pays contributeur de troupes et de personnel de police aux opérations de maintien de la paix de l’ONU. Plus de 1 400 soldats et policiers tchadiens sont actuellement déployés dans les missions de l’ONU en République démocratique du Congo, au Mali et au Sahara occidental. Lors des célébrations au siège de l’organisation, le Secrétaire général, António Guterres, déposera une gerbe de fleurs en l’honneur des plus de 4 200 Casques bleus ayant perdu la vie depuis 1948. Il présidera également une cérémonie dans la salle de l’Assemblée générale pour la remise de la Médaille Dag Hammarskjöld décernée à titre posthume aux 103 militaires, policiers et personnels civils tombés en servant sous le drapeau de l’ONU.
Cinq militaires tchadiens figurent parmi les casques bleus auxquels il sera rendu hommage lors d’une cérémonie à l’ONU: le 2e Classe Assemgar Motangar BONHEUR, le 2e Classe Brahim Toubaye ALI, le Capitaine Dady Barkai ABAKAR, le 2e Classe Hisseine Hassan MAHAMOUD et le 2e Classe Ahamat Moukour SABOUR. Tous servaient dans la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA).
Le Secrétaire général remettra par ailleurs le prix 2022 du « Militaire de l’année pour la défense de l’égalité des genres » à la Capitaine Cecilia Erzuah, une officière des forces armées du Ghana qui a servi au sein de Force de sécurité intérimaire de l'ONU pour Abyei.
Créé en 2016, le prix reconnaît le dévouement et les efforts d'un casque bleu dans la promotion des principes de la résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies 1325 sur les femmes, la paix et la sécurité. Dans un message à cette occasion, le Secrétaire général a dit : « Les casques bleus de l’ONU sont le cœur battant de notre engagement en faveur d'un monde plus pacifique. Depuis 75 ans, ils soutiennent des personnes et des communautés affectées par des conflits et des bouleversements par le monde. Aujourd'hui, à l'occasion de la Journée internationale des Casques bleus, nous rendons hommage à leurs contributions extraordinaires à la paix et à la sécurité internationales. Le thème de cette année, « La paix commence avec moi », salue la contribution et les efforts des casques bleus aux côtés de nombreux partenaires, y compris les communautés que nous servons pour assurer la paix et le progrès.
Le Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix, Jean-Pierre Lacroix, a pour sa part déclaré : « Le maintien de la paix de l’ONU est un exemple remarquable de la façon dont des partenariats solides et une volonté politique collective peuvent aboutir à des changements significatifs. En collaboration avec les communautés locales et d'autres partenaires, notre personnel protège les civils, propose des solutions politiques et aide à mettre fin aux conflits dans la poursuite d'une paix durable. Nous apprécions le soutien de toutes les parties prenantes pour garantir que les opérations de maintien de la paix des Nations Unies puissent continuer à fonctionner comme un outil multilatéral efficace pour la paix et la sécurité mondiales ».
La Journée internationale des Casques bleus des Nations Unies a été établie par l'Assemblée générale en 2002 pour rendre hommage à tous les hommes et femmes servant dans les opérations de maintien de la paix de l'ONU et pour honorer la mémoire de ceux qui ont donné leur vie pour la cause de la paix.
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Communiqué de presse
05 juin 2023
Les organisations humanitaires au Tchad ont un besoin urgent de financement pour répondre aux besoins des réfugiés et des rapatriés du Soudan.
Au total, environ 80 000 personnes (réfugiés et rapatriés) ont fui le Soudan vers le Tchad depuis le début du conflit à Khartoum le 15 avril. Les agences humanitaires au Tchad travaillent en étroite collaboration avec le gouvernement tchadien afin d'intensifier la réponse à cette crise humanitaire croissante.
La grande majorité des réfugiés et des rapatriés sont des femmes et des enfants et vivent encore principalement dans des conditions précaires près de la frontière où la situation sécuritaire est imprévisible. L'Agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a lancé une opération de réinstallation des réfugiés loin de la frontière, dans des sites existants. L'Agence des Nations unies pour les migrations (OIM) aide les migrants tchadiens qui rentrent chez eux à s'installer dans des sites éloignés de la frontière. Nous sommes confrontés à d'énormes défis logistiques, à une pénurie de fonds et nous travaillons 24 heures sur 24 pour déplacer autant de personnes que possibles avant que la saison des pluies ne rende les routes impraticables. La récente recrudescence des combats rend encore plus urgente la réinstallation des personnes qui se trouvent actuellement près de la frontière afin de garantir leur sécurité.
"L'interaction avec les réfugiés et les rapatriés à la frontière à Koufroun aujourd'hui a mis en évidence l'urgence d'intensifier la réponse. Même s'ils ont trouvé refuge au Tchad, ils ne sont pas en sécurité tant qu'ils n'ont pas été déplacés loin de la frontière. La perte malheureuse d'une femme réfugiée hier, à 200 mètres à l'intérieur du territoire tchadien, après avoir été touchée par des tirs provenant du côté soudanais, fait de la relocalisation une priorité impérative". - a déclaré Mme Violette Kakyomya, Coordinatrice Humanitaire.
Jusqu'à présent, la réponse humanitaire a permis de fournir des abris, de distribuer des kits d'articles ménagers et d'apporter une aide alimentaire d'urgence. Un enfant sur cinq âgé de six à 59 mois souffre de malnutrition aiguë et a besoin d'un soutien nutritionnel d'urgence. Les agences des Nations unies et les ONG ont mis en place des cliniques mobiles qui proposent des consultations sur mesure en matière de nutrition, de santé génésique, de vaccination et de santé mentale. Cependant, cette assistance est encore limitée et n'a atteint qu'une petite partie des personnes dans le besoin.
Le Tchad accueille déjà environ 600 000 réfugiés, soit la plus grande population de réfugiés en Afrique occidentale et centrale, dont 400 000 réfugiés soudanais. L'extraordinaire hospitalité du gouvernement tchadien et de son peuple a été démontrée une fois de plus dans cette crise. Les efforts conjoints du gouvernement et de la communauté humanitaire ont été considérables dans la période d'urgence aiguë, mais l'ampleur de cette crise nécessite un financement urgent pour sauver des vies.
La communauté humanitaire au Tchad a élaboré un plan d'intervention qui nécessite 129 millions de dollars pour répondre aux besoins prévus de 135 000 personnes au cours des six prochains mois. À l'heure actuelle, seuls 21 % des fonds ont été engagés.
Avant cette crise, le gouvernement tchadien et ses partenaires humanitaires ont lancé le Plan de réponse humanitaire (PRH) pour 2023, doté de 670 millions de dollars pour répondre aux besoins humanitaires dans l'ensemble du pays. Le plan n'a reçu que 5 % de ses besoins financiers jusqu'à présent.
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11 novembre 2022
La stabilisation communautaire pour renforcer le bien-être des populations dans le Nord du Tchad
Situées à plus de 20 kilomètres de Fada, chef-lieu de la province de l’Ennedi-Ouest dans l’extrême nord du Tchad, Innou 1 et 2 – qui combinent une population de près de 2 000 habitants, éprouvent depuis des années des défis majeurs d’accès à l’eau potable. « Nous ne pensions jamais avoir un château d’eau un jour à Innou 2 ! », s’est réjoui le chef du village d’Innou 2 où un château d’eau d’une capacité d’onze mètres cubes a été construit. Le château est équipé de dispositif solaire de pompage qui facilite le ravitaillement et la distribution de l’eau aux populations locales.« Jusqu’à maintenant nous buvions la même eau que nos animaux dans le puits mais maintenant nous avons de l’eau potable », ajoute le chef du village.
A Innou 1, un forage équipé d’un dispositif solaire et d'un grand bassin de stockage d'eau ont été réceptionnés par les autorités et communautés locales pour stimuler l’agriculture et le jardinage maraicher. Des semences, des outils maraîchers et divers produits phytosanitaires ont par ailleurs été remis aux groupements d’agriculteurs locaux afin de leur permettre d’intensifier leur production. A travers le Nord du Tchad, l’OIM, soutenue par le Ministère fédéral Allemand des Affaires étrangères, met en œuvre le projet « Balke – Sécurité et Stabilité dans le Nord du Tchad » qui réalise diverses actions visant à améliorer la sécurité humaine des populations, à stimuler le développement socioéconomique local, et à accroitre l'accès aux services sociaux de base ainsi qu'aux opportunités économiques pour les jeunes et les femmes.
Grâce au projet, plus de 111 jeunes ont reçu des formations certifiantes en technologie de l’information, électricité, menuiserie, couture et mécanique auto à travers le Centre de Formation Technique et Professionnelle de Faya réhabilité et équipé par l’OIM. Le projet a par ailleurs soutenu la construction et la réhabilitation de plusieurs structures sociales telles que des forages, des châteaux d’eau, des écoles, des centres de santé et des marchés communautaires afin de rapprocher les populations des services nécessaires à leur épanouissement.
« La stabilisation communautaire est essentielle car elle jette les bases d'un développement à long terme », dit Anne Kathrin Schaefer, Cheffe de mission de l'OIM au Tchad. « Notre approche privilégie la planification et le relèvement au niveau communautaire ainsi que les interventions à impact rapide pour rétablir les moyens de subsistance et l'accès aux services de base pour tous », ajoute-t-elle.
Pour plus d'informations, veuillez contacter François-Xavier Ada AFFANA, Responsable de la communication. Courriel : fadaaffana@iom.int.
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Communiqué de presse
04 août 2022
La nouvelle représentante du HCR présente ses lettres de créance aux autorités tchadiennes
La cérémonie symbolique a été suivie d’un entretien cordial et constructif entre la Représentante du HCR et la Secrétaire d’Etat aux Affaires Etrangères, à l’intégration Africaine et aux Tchadiens de l’Etranger, Awatif El Tidjani Ahmed Koïboro. Au cours de cette audience, Madame Laura Lo Castro a salué « les relations privilégiées qui existent entre son Agence et les autorités tchadiennes ». Elle a réitéré « l’engagement du HCR de poursuivre aux côtés du gouvernement tchadien, les efforts pour la protection, l’assistance et la recherche des solutions durables en faveur des réfugiés, des autres populations déplacées et des communautés qui les accueillent ». L’occasion tout indiquée pour la nouvelle Représentante de féliciter le Tchad pour sa politique d’asile.
En réponse, la Secrétaire d’Etat a réitéré la tradition d’hospitalité et de solidarité du gouvernement et du peuple tchadien à l’égard des réfugiés ainsi que des Tchadiens en situation de déplacement forcé. Au sortir de l’audience, la fonctionnaire onusienne de nationalité italienne, a réitéré, au nom du Haut-Commissaire, à la presse tchadienne, la reconnaissance de son Agence pour les efforts et sacrifices consentis par le Tchad pour l’asile aux milliers de réfugiés vivant sur son territoire depuis plus de deux décennies. La nouvelle Représentante de l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés était jusqu’à sa nomination Conseillère principale auprès du Service du changement et de la transformation au Siege de l’institution à Genève en Suisse.
Avec plus de 30 ans d'expérience dans le domaine humanitaire, Madame Laura Lo Castro a travaillé dans trois organisations humanitaires : PAM (Programme Alimentaire Mondial), UNRWA (l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient) et HCR depuis 1994. Au Tchad, sur un total de 1 067 668 personnes relevant de la compétence du HCR au 31 juillet 2022, 584 828 sont des réfugiés et demandeurs d’asile. Cet effectif (réfugiés et demandeurs d’asile) qui représente environ 3,21% de sa population nationale, hisse le Tchad au rang des pays qui accueillent le plus grand nombre de réfugiés au monde.
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Communiqué de presse
23 mai 2022
125 tchadiens bénéficient du programme d’Aide au retour volontaire et à la réintégration de l’OIM
Le retour volontaire de ces tchadiens a été possible grâce à l’Initiative conjointe UE-OIM pour la protection et la réintégration des migrants et porte à 1 429 le nombre de tchadiens ayant bénéficié d’une aide au retour volontaire dans le cadre de cette initiative. Arrivés par vol spécial, on compte parmi le groupe de migrants de retour récemment accueillis 14 femmes et 10 enfants. Vaste pays enclavé d’Afrique centrale, le Tchad est une plaque tournante des migrations Africaines.
Ces dernières années, un nombre important de jeunes Tchadiens, poussés par la recherche de meilleures conditions de vie, risquent leurs vies sur les routes migratoires irrégulières. Des témoignages de migrants de retour ont révèlent des conditions de voyage dangereuses à travers le désert et des abus physiques et émotionnels subis aux mains de passeurs et de trafiquants. Pour ceux qui réussissent à arriver à une quelconque destination, les conditions de vie sont parfois précaires, avec certains travaillant sans contrat et dans des conditions d’exploitation.
Mis en œuvre depuis 2019 au Chad, l’Initiative conjointe est le premier programme complet visant à sauver des vies, à protéger et à aider les migrants le long des principales routes migratoires en Afrique. « Dans le cadre l’Initiative conjointe UE-OIM, l’OIM Tchad a aidé au retour 1 429 tchadiens bloqués en Libye, en Algérie, en Tunisie, au Maroc, au Soudan, au Niger, au Sénégal, au Mali, en Côte d’Ivoire, à rentrer en toute sécurité. Sur la même période, l’OIM a aussi aidé 1 941 migrants étrangers bloqués au Tchad à rentrer volontairement dans leurs pays d’origine », explique Jean-Claude Bashirahishize, Responsable de l'assistance et protection des migrants avec l’OIM au Tchad.
Le programme offre par ailleurs aux migrants de retour un appui à la réintégration qui inclut un soutien psychosocial, des formations qualifiantes, une orientation ou une aide en nature pour monter des projets socioéconomiques individuels, collectifs ou communautaires.
Pour plus d'informations, veuillez contacter François-Xavier Ada AFFANA, Responsable de la communication. Courriel : fadaaffana@iom.int
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