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18 juin 2025
Une Journée Dédiée à la Santé du Personnel UN au Tchad
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Atelier de renforcement de capacité des femmes élues locales
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Les objectifs de développement durable au Tchad
Les objectifs de développement durable (ODD), également appelés objectifs globaux, constituent un appel universel à l'action visant à éliminer la pauvreté, à protéger la planète et à garantir à tous les peuples la paix et la prospérité. Ce sont aussi les objectifs de l'ONU au Tchad:
Histoire
24 juin 2024
APPEL À PROPOSITIONS AU TCHAD
Le Fonds des Femmes pour la Paix et l’Action Humanitaire (WPHF) a lancé son premier appel à propositions au Tchad pour soutenir les organisations de la société civile (OSC) qui œuvrent à créer un environnement favorable à l’agenda femmes, paix, sécurité (FPS), et à renforcer la protection des femmes et des filles, ainsi que pour soutenir les organisations locales de femmes et de jeunes femmes à travers un financement institutionnel. WPHF cherche à financer les éligibles organisations au Tchad à travers les volets de financement suivants :Financement programmatique de 30,000 USD à 200,000 USD Fournit un financement programmatique pour les projets des OSCs visant à (1) renforcer le rôle des organisations de la société civile dans le plaidoyer et la responsabilisation des engagements en matière de FPS (conformément au domaine d’impact 1 du WPHF), OU (2) améliorer les droits humains, la sûreté, la sécurité et la santé mentale des femmes et des filles (conformément au domaine d’impact 5 du WPHF)Financement institutionnel de 2,500 USD à 30,000 USD Fournit un financement institutionnel pour le rétablissement et le renforcement des capacités institutionnelles des organisations de la société civile œuvrant à la mise en œuvre des engagements relatifs à l’agenda FPS.Veuillez noter: une organisation ne peut postuler qu’une seule fois, soit pour l’un des volets, soit pour les deux. les organisations qui se porterons candidates pour les deux volets devront soumettre deux dossiers de candidature basés sur les exigences et les modèles associés à chaque volet.les dossiers de candidature complets en français doivent être soumis par courrier électronique à l’addresse suivante wphfapplications@Unwomen.org avec comme objet « TCHAD WPHF APPEL1 »date limite de soumission : 24 Aout 2024Une session d’information relative à cet appel sera organisée par UNFPA et le Secrétariat du WPHF en ligne le 17 juillet 2024. Pour vous inscrire, veuillez envoyer par courriel le nom de votre organisation à l’adresse suivante : sec.wphf.tchad@unfpa.org au plus tard le 14 juillet 2024.Veuillez envoyer vos questions CONCERNANT L’APPEL À (sec.wphf.tchad@unfpa.org )., filtered_html
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Communiqué de presse
23 décembre 2020
Le HCR se félicite de l’adoption de la loi d’asile au Tchad
Cette loi, qui est conforme aux instruments et aux normes internationales, telles que la Convention de 1951 sur le statut des réfugiés et son Protocole de 1967 et aussi la Convention de l'Organisation de l'Union Africaine de 1969, vient également faire partie de la mise en œuvre des engagements internationaux du Tchad lors du Forum Mondial pour les Réfugiés ainsi du Segment de Haut Niveau contre l’Apatridie en 2019. Après l'arrivée des premiers réfugiés au Tchad en 2003 à la suite de la crise du Darfour, le Tchad compte aujourd'hui 917.534 personnes en déplacement dont 477.720 réfugiés, 3.925 demandeurs d’asile, 336.124 déplacés internes, 69.343 retournés tchadiens de la RCA et 30.422 retournés tchadiens au Lac. Le nombre de réfugiés et de demandeurs d’asile représente plus de 3% de la population tchadienne, en faisant du Tchad le premier pays d’asile en Afrique. Le Tchad se classe également parmi les 10 plus grands pays d’accueils des réfugiés au monde. En adoptant cette nouvelle loi, le Tchad est également devenu l’un des premiers pays de la région à mettre en œuvre ses engagements à assurer une meilleure protection internationale aux demandeurs d’asile et aux réfugiés vivant sur son territoire depuis bientôt 20 ans. Soulignant l'hospitalité légendaire du Tchad, Roberta Montevecchi, la Représentante Assistante chargée des Operations du HCR a indiqué que «C’est un moment historique pour le Tchad et la protection internationale des réfugiés en Afrique et dans le monde. Une autre fois encore, le Tchad a donné l'exemple cette fois avec l'adoption d'un loi pionnière qui fait avancer significativement les pratiques en matière de la protection des demandeurs d'asile et des réfugiés au Tchad. La nouvelle loi traitée l’asile dans sa globalité depuis la réception des réfugiés jusqu’aux solutions durables tout en assurant (entre autres) la protection, la liberté de circulation, le droit à la santé, l'éducation, l'accès à la justice et au travail ainsi qu'aux documents. Elle permet également au Tchad de fournir une assistance à des groupes de réfugiés ainsi qu'à des individus. Le HCR est heureux que ce développement historique au Tchad se produise seulement 2 semaines après le 70e anniversaire du HCR, ce qui permettra de marquer « ensemble » les prochains anniversaires ! ». Dans la logique du Pacte Mondiale pour les Réfugiés, plusieurs acteurs de développement se positionneront aussi de plus en plus pour renforcer les efforts au profit des réfugiés et de la population d'accueil afin de parvenir « au Tchad émergent que nous voulons suivant la vision 2030 du Chef de l’Etat ».
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Histoire
03 mai 2024
Les Coordonnateurs résidents tracent la voie vers le Sommet de l'Avenir
Les Coordonnateurs résidents ont partagé avec Mme Mohammed des informations sur les succès et les défis de la mise en œuvre de l'accélération des ODD et ont discuté des voies stratégiques pour soutenir les gouvernements et les partenaires.Parmi les nombreux projets phares partagés par les Coordonnateurs résidents, qui intègrent les ODD, le Coordonnateur résident pour l'Éthiopie, Ramiz Alakbarov, a fourni des exemples d'initiatives qui intègrent les systèmes agroalimentaires avec l'adaptation au climat, et soutiennent les moyens de subsistance des femmes et des jeunes dans les communautés marginalisées. La Coordonnatrice résidente en Égypte, Elena Panova, a noté ses efforts pour amener les institutions financières internationales et le secteur privé à discuter avec le gouvernement des voies transformatrices et des préparatifs pour le Sommet de l'Avenir. La Coordonnatrice résidente pour le Lesotho, Amanda Mukwashi, a déclaré que les allocations budgétaires nationales du gouvernement sont alignées sur son engagement politique en faveur de la transformation numérique et l'accès à l'énergie et peuvent être utilisées comme un exemple de bonne pratique au Sommet de l'Avenir. Le Cap-Vert a également pleinement aligné son plan national de développement sur l'accélération des ODD, en mettant l'accent sur l'emploi et la protection sociale, le changement climatique et la connectivité numérique. De même, le Ghana a conçu un dialogue national impliquant le gouvernement, les groupes de la société civile et d'autres acteurs qui aideront à intégrer la responsabilité de l'engagement au Sommet sur les ODD dans les propositions pour le Sommet de l'Avenir. Le Coordonnateur résident pour le Botswana, Zia Choudhury, a souligné la sous-représentation des jeunes dans les conversations politiques africaines e et a plaidé en faveur de leur réengagement en tant que partenaires stratégiques. « Ce que nous voulons faire, c'est encourager les jeunes à voir le développement comme un marathon, et non pas comme une simple course rapide quelques fois par an », a-t-il déclaré. Les discussions ont reconnu le rôle crucial du Fonds conjoint pour les ODD pour exploiter les partenariats et le financement catalytique pour les ODD, la réforme de l'architecture financière des ODD reste essentielle, tout comme la nécessité de restructurer le dialogue avec lesinstitutions financières internationales sur le financement des ODD.Une proposition de reformulation : À la réunion, plusieurs hauts responsables des Nations Unies étaient présents, notamment le Représentant spécial et Chef du Bureau de l'ONU auprès de l'Union africaine, Parfait Onanga-Anyanga, la Conseillère spéciale pour l'Afrique, Cristina Duarte, le Coordonnateur spécial pour le développement au Sahel Abdoulaye, Mar Dieye, le Sous-Secrétaire général à la coordination des activités de développement, Oscar Fernandez-Taranco et le Sous-Secrétaire général aux affaires de la jeunesse, Felipe Paullier.En conclusion, la Vice-Secrétaire générale a réitéré la détermination du système de développement de l'ONU à atteindre les objectifs ambitieux fixés dans les ODD. "Il nous reste six ans pour faire avancer cet agenda très rapidement. Nous ne nous reposons pas; nous n'abandonnons pas," a-t-elle déclaré. , filtered_html
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Histoire
03 mai 2024
Pour accélérer les ODD, la Vice-Secrétaire générale de l'ONU appelle les Coordonnateurs Résidents à encourager la solidarité avec la jeunesse africaine.
Les jeunes et les femmes d'Afrique étaient au cœur des discussions lors de la réunion annuelle de la Vice-Secrétaire générale de l'ONU, Amina J. Mohammed, avec les Coordonnateurs résidents de tout le continent africain. L'accent central était mis sur l'accélération des progrès pour l’atteinte des Objectifs de développement durable (ODD) ainsi que l'importance de donner une voix forte à l'Afrique et clairement entendue dans les négociations internationales en vue du prochain Sommet de l'Avenir. En tant que continent le plus jeune de la planète, l'Afrique fait face à des défis uniques qui ralentissent les progrès des ODD et alimentent le désenchantement quant à l'efficacité des politiques actuelles et leur pertinence pour les populations. Mme Mohammed a souligné l'urgence particulière de raviver l’espoir chez les jeunes hommes et femmes africains et de rendre le développement durable une réalité pour eux. « C'est le continent le plus en retard, et donc nous devons le remonter », a-t-elle déclaré. « Nous pouvons inverser la tendance, et nous avons six ans [pour le faire], mais nous devons le faire avec les jeunes. Nous devons le faire avec les femmes », souligne Mme Mohammed.Le dialogue stratégique de cette année a eu lieu dans la capitale éthiopienne, Addis-Abeba, en marge du dixième Forum régional africain sur le développement durable (ARFSD-10) du 23 au 25 avril 2024. Le Directeur régional pour l'Afrique du Bureau des Nations Unies pour la coordination des activités de développement, Yacoub El-Hillo, a modéré les sessions.La Vice-Secrétaire générale Mme Mohammed mis en avant la nécessité pour l'ONU de mettre en commun son expertise et son soutien envers les gouvernements africains. Elle a souligné que les efforts collaboratifs devraient garantir que les engagements politiques en faveur de l'accélération des ODD se concrétisent par des lois, des politiques et des programmes renforçant la résilience des sociétés face aux crises et leur capacité à anticiper et à répondre à leur impact sur les ODD. « Nous devons aborder l'urgence de développement avec l'outil de prévention, l'outil de rétablissement, l'outil de cause profonde et d'autres [pour savoir] ce qui doit se passer pour accélérer les ODD », a-t-elle souligné. L'appel à l'action de Mme Mohammed a été écho par le Secrétaire général adjoint chargé des politiques, Guy Ryder, qui a souligné l'importance cruciale d'amplifier les voix africaines dans les processus décisionnels mondiaux menant au Sommet de l'Avenir en septembre. M. Ryder a présenté les progrès réalisés sur le Pacte pour l'Avenir, le document final du Sommet avec cinq piliers: le financement pour le développement; la paix et la sécurité internationales; la science, la technologie et l'innovation; la jeunesse et les générations futures; et la transformation de la gouvernance mondiale. « Ce Sommet et le contenu du pacte sont très importants pour l'Afrique. » Cependant, M. Ryder a averti que les récits et les priorités africains sont insuffisamment représentés dans le processus de négociation à New York, et a appelé au soutien des Coordonnateurs résidents pour s'assurer que la voix de l'Afrique soit pleinement entendue. Le Sommet de l'Avenir s'appuiera sur le Sommet des ODD de l'année dernière, au cours duquel le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a présenté aux dirigeants mondiaux six voies transformatrices. Ces voies visent à s'attaquer à des domaines critiques tels que les systèmes alimentaires, l'accès à l'énergie, la connectivité numérique, l'éducation, l'emploi et le changement climatique - Ces défis étant interconnectés, ils nécessitent un changement systémique pour atteindre les ODD. , filtered_html
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02 mars 2021
“Les Nations Unies protègent les droits et le bien-être des réfugiés et des autres personnes qui ont été forcées de fuir”
La Coordonnatrice résidente du système des Nations Unies et coordonnatrice humanitaire au Tchad, Madame Violette Kakyomya accompagnée des représentants du HCR, Monsieur Papa Kysma Sylla et de l’UNFPA, Dr Sennen Hounton, de la Chef de Bureau de OCHA au Tchad Madame Belinda Holdsworth, et des chefs de bureau du PAM, de l’OMS et de l’UNICEF a effectué une mission du 23 au 26 février 2021 dans la province du Ouaddaï. L’objectif de cette mission de terrain était d’apprécier les interventions multisectorielles des Agences des Nations Unies dans la province, d’échanger avec les autorités locales et apprécier la réponse du HCR et ses partenaires à l’afflux des nouveaux réfugiés soudanais. La Coordonnatrice résidente du système des Nations Unies a rencontré les comités contre les violences sexuelles et sexistes (SGBV) et les groupes des pairs-éducateurs SGBV des camps de farchana (premier camp ouvert à l’Est du Tchad le 17 janvier 2004) et Kouchaguine-Moura (le dernier ouvert le 04 février 2019). « Les conséquences des violences sexuelles et sexistes sont dévastatrices. L’objectif principal des Nations Unies est de protéger les droits et le bien-être des réfugiés et des autres personnes qui ont été forcées de fuir » a déclaré la Coordonnatrice résidente du système des Nations Unies et coordonnatrice humanitaire au Tchad, Madame Violette Kakyomya marquant ainsi sa solidarité avec les survivantes. Toujours à Kouchaguine-Moura la Coordonnatrice résidente a remis des kits de dignité de base à quelques femmes membres du comité de femmes du camp. Ce kit est composé d’un minimum d’articles pour une femme dans des moments de vulnérabilité (savon, brosse à dent, serviette hygiénique, dentifrice, …). Avec le Gouverneur de la province du Ouaddaï, Madame Violette Kakyomya a essentiellement échangé sur les impacts positifs des programmes conjoints en faveur des réfugiés et de la population hôte. Ces programmes contribueront à améliorer davantage la cohabitation pacifique déjà existante, témoigne le Gouverneur, le General Brahim Seid Mahamat.
A Abéché, chef-lieu de la province du Ouaddaï et Farchana, Madame Violette Kakyomya a eu des échanges avec toutes les agences des Nations Unies et ONGs Nationales et internationales. Pour elle, les Nations Unies au Tchad opte pour le principe de partenariat de la Plateforme Humanitaire Globale qui établit des standards communs parmi tous les groupes humanitaires en matière d’égalité, de transparence, de complémentarité et de ciblage sur les résultats. Cet appel s'inscrit dans le cadre des consultations annuelles du HCR avec les ONG, coorganisées par le HCR et le Conseil international des agences bénévoles (ICVA). Au cours des echanges à Kouchaguine-Moura, Sarah, 27 ans a indiqué : « pour l’heure, je n’ai aucune intention de retourner au Soudan. Mon seul souci est de trouver une activité génératrice de revenu qui me permettra d’être autonome et de rester au Tchad ». À la fin de sa mission, la Coordonnatrice résidente du système des Nations Unies a visité le 25 février 2021 les points d’entrée des réfugiés soudanais à Adré (département d’Assoungah) et le site de transit avant leur transfert au camp de Kouchaguine-Moura (département de Ouara, à environ 170 Km de la frontière Tchad/Soudan). Elle a aussi participé au 8 -ème convoi de transfert des nouveaux réfugiés vers le camp de Kouchaguine-Moura.
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18 juin 2025
Une Journée Dédiée à la Santé du Personnel UN au Tchad
Dans le cadre de sa mission de promotion de la santé et du bien-être en milieu professionnel, la Clinique des Nations Unies a organisé une séance de sensibilisation et de dépistage dédiée à trois enjeux majeurs de santé publique : l’hypertension artérielle, le diabète et le don volontaire de sang. Cette initiative, tenue au bénéfice du personnel des agences des Nations Unies – notamment OCHA, UNRCO et le Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme – s’inscrit dans une démarche proactive de prévention et de responsabilisation individuelle. Tout au long de la journée, les agents ont pu bénéficier de contrôles médicaux gratuits réalisés par des professionnels de la santé expérimentés. La prise de tension artérielle et la mesure de la glycémie ont permis d’identifier d’éventuels facteurs de risque, souvent silencieux mais aux conséquences potentiellement graves s’ils ne sont pas pris en charge à temps. Parallèlement, un stand d’information sur le don volontaire de sang a permis de rappeler l’importance vitale de ce geste solidaire, trop souvent négligé. Les échanges ont mis en lumière les besoins constants en produits sanguins, tout en dissipant les idées reçues et appréhensions autour de cet acte citoyen. Cette journée de sensibilisation a été l’occasion de renforcer la culture du dépistage précoce, essentielle dans la lutte contre les maladies chroniques, tout en favorisant un esprit de solidarité et de responsabilité collective. En valorisant la santé au travail, la Clinique des Nations Unies affirme une fois de plus son engagement envers le bien-être physique et mental de l’ensemble du personnel onusien. , filtered_html
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13 juin 2025
Les Nations Unies au Tchad se mobilisent pour la Journée Mondiale du Don de Sang
Ce 13 juin 2025, à l’appel du Dr François Batalingaya, Coordonnateur résident des Nations Unies et Coordonnateur Humanitaire, le personnel onusien s’est engagé avec solidarité dans une collecte volontaire de sang organisée conjointement par le Ministère de la Santé Publique au sein du bureau pays de l’OMS à N’Djamena. Ce geste fort, symbolique et vital illustre l’engagement constant du Système des Nations Unies à soutenir les efforts du Tchad en matière de santé publique. « Le don de sang est un acte d’une valeur inestimable. Il sauve chaque jour des vies – notamment celles de mères en détresse, d’enfants malnutris ou de blessés dans les zones de conflit », a rappelé Dr François Batalingaya dans son allocution. En lançant officiellement cette collecte du don volontaire de sang, la Secrétaire d’État à la Santé publique et à la Prévention, Dr Francine Mbaidedji, a salué cette initiative et rappelé que le taux de don volontaire reste encore très faible au Tchad (moins de 10 %), loin du seuil recommandé de 80 % par l’OMS. La cérémonie a été agrémentée par la remise des attestations aux donneurs volontaires régulier, issus des différentes agences des Nations Unies au Tchad. Il faut noter qu'en 2024, le personnel des Nations Unies au Tchad avait déjà démontré un engagement remarquable, en fournissant plus de la moitié des poches de sang collectées à l’échelle nationale. « Ensemble, continuons à sauver des vies et à œuvrer pour une meilleure santé pour tous au Tchad... Chaque don de sang compte », a ajouté Dr Blanche Anya, Répresentante résidente du Bureau pays de l'OMS Tchad. , filtered_html
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12 mai 2025
Atelier de renforcement de capacité des femmes élues locales
Pendant une semaine, elles bénéficieront de nombreux enseignements sur les techniques de médiation et de gestion des conflits, ainsi que du renforcement de leurs compétences politiques et institutionnelles, afin d'accroître leur participation effective aux instances de décision. Cette initiative garantit une contribution significative des femmes à la stabilité sociale, à la gouvernance locale et au développement durable, tout en renforçant leur rôle de piliers de la cohésion communautaire. Ouvrant l'atelier, le Chef de Bureau, M. Yahaya Balima, représentant le Coordonnateur Résident du Système des Nations Unies, a déclaré que : les femmes représentent plus de 30% des pouvoirs exécutif et législatif, ce qui place le Tchad parmi les pays leaders dans la promotion de la participation des femmes à la vie politique, non seulement au niveau régional mais aussi au niveau continental. Il a ajouté qu'à travers cette initiative, nous leur fournirons les outils nécessaires pour agir efficacement, résoudre les conflits, promouvoir la cohésion sociale et exercer pleinement leur mandat politique. Selon Abdelkerim Seid Bauche, délégué du gouvernement auprès de la province, la représentation des femmes dans la sphère des affaires publiques est de 34% de députées, 36,2% de sénatrices, 27,1% de conseillères provinciales et 30,7% de conseillères municipales. La femme tchadienne est donc en train de revendiquer fortement sa place dans les instances de décision de notre pays", a-t-il déclaré. Il est à noter que cet atelier vise à autonomiser les femmes élues locales en leur fournissant les outils nécessaires pour exceller dans leurs rôles et contribuer au développement de leurs communautés, à savoir : La médiation et la gestion des conflits : Techniques de médiation et de résolution des conflits, dialogue et consolidation de la paix. Compétences politiques et institutionnelles : Fonctionnement des institutions locales, plaidoyer et leadership politique. Mise en réseau et collaboration : Mise en réseau, partenariats stratégiques et travail collaboratif., filtered_html
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10 avril 2025
Le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés et l'équipe pays des Nations Unies au Tchad
En mission de travail au Tchad depuis le 7 avril, le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, a rencontré ce jeudi l’équipe pays du Système des Nations Unies, des représentants d’ONG nationales ainsi que quelques bailleurs de fonds, au Bureau commun des Nations Unies.Au cours de cet échange, M. Grandi a exprimé sa vive préoccupation face à la crise financière que traverse actuellement l’organisation, notamment en raison du gel du financement américain. Cette situation commence déjà à affecter concrètement les actions menées par les agences des Nations Unies au Tchad.L’équipe pays a saisi cette occasion pour transmettre quatre messages clés au Haut-Commissaire, parmi lesquels figurent le renforcement du plaidoyer en faveur d'une résolution de la crise soudanaise, ainsi que la nécessité de décentraliser et de mieux coordonner l’action humanitaire.Les représentants des ONG nationales ont, quant à eux, salué la collaboration existante entre leurs structures et les agences onusiennes., filtered_html
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07 avril 2025
Journée Mondiale de la Santé : Un appel à prioriser la Santé Maternelle et Néonatale pour un Avenir d'Espoir
Placée Sous le thème : « Une bonne santé à la naissance pour un avenir plein d’espoir », ce thème, relayée avec force par la représentante de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) au Tchad, Dr Blanche Anya, a retenti comme un appel vibrant aux gouvernements et aux acteurs de la santé à intensifier leurs efforts pour éradiquer les décès maternels et néonatals évitables. L'accent a été mis sur la nécessité impérieuse de placer la santé et le bien-être des femmes au cœur des priorités à long terme du pays. Dr Anya a souligné avec conviction l'urgence de cette action, insistant sur le fait que chaque décès maternel ou néonatal représente une tragédie évitable et un frein au développement de la nation. Son message a résonné avec les paroles du coordonnateur résident du Système des Nations-Unies au Tchad, Dr François Batalingaya, qui a clairement établi le lien indissoluble entre l'investissement dans la santé de la mère et de l'enfant et la garantie d'un avenir meilleur pour les générations à venir. Le Dr Batalingaya a mis en lumière les trois retards critiques qui continuent de peser lourdement sur la santé du couple mère-enfant au Tchad. Le retard dans la décision de chercher des soins, souvent lié à des facteurs socio-culturels et à un manque d'information, le retard d’accès aux structures de santé, exacerbé par l'éloignement géographique et le manque d'infrastructures adéquates, et enfin, le retard dans la prise en charge médicale, dû à un manque de personnel qualifié et de ressources disponibles. Ces trois délais forment un cercle vicieux qui met en péril la vie de nombreuses femmes et de leurs nouveau-nés. Si l'OMS a salué les avancées significatives réalisées dans le domaine de la santé maternelle et infantile, cette journée a servi de rappel solennel qu'un chemin considérable reste à parcourir. Cette réalité n'a pas échappé au ministre de la Santé publique et de la prévention, qui a lancé un appel pressant à investir davantage dans des interventions à haut impact. Reconnaissant l'urgence de la situation, il a affirmé que seules des actions ciblées et efficaces peuvent conduire à une réduction significative des taux de mortalité maternelle, néonatale et infantile, qui demeurent des défis majeurs pour le Tchad. Cet événement a donc été bien plus qu'une simple commémoration. Il a été un moment de prise de conscience collective, un appel à l'action renouvelé et un engagement ferme à ne pas relâcher les efforts. Pour la Ministre d’Etat, Ministre de la Femme et de la Petite Enfance, Mme Amina Priscille Longoh : « La santé à la naissance n'est pas seulement un impératif humanitaire, mais aussi un investissement essentiel pour bâtir un avenir où chaque enfant a la chance de grandir et où chaque femme peut donner la vie en toute sécurité. Le Tchad, conscient des enjeux, se doit de traduire ces paroles en actions concrètes pour offrir un avenir véritablement plein d'espoir à sa population. » , filtered_html
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Communiqué de presse
14 mars 2025
Retour définitif à l’ordre constitutionnel au Tchad - Une opportunité pour le renforcement de la démocratie et la prospérité partagée
N’Djamena le 14 mars 2025_Le Tchad marque une avancée décisive dans sa trajectoire démocratique avec le rétablissement de l’ordre constitutionnel après trois années de transition politique. Ce11 mars 2025 constitue une étape majeure dans l’histoire institutionnelle du pays, avec l’installation du Bureau du Sénat en sa première législature. Cette nouvelle institution joue un rôle essentiel dans l’enracinement de la démocratie. Le Sénat majoritairement composé d’élus locaux promeut une représentation équilibrée des différentes composantes sociopolitiques et régionales du pays.Cette réussite du Tchad est à l’actif des Tchadiennes et des Tchadiens ainsi que de leurs autorités. Le Système des Nations Unies a accompagné ce processus politique et institutionnel depuis ses premières heures. L’accompagnement des Nations Unies s’est poursuivi sous le leadership de son Coordonnateur Résident, Dr François Batalingaya. C’est ainsi que l’Équipe-pays a apporté un appui multiforme et continue pour tout au long du processus. À travers les agences, programmes et fonds des Nations Unies, un accompagnement technique, méthodologique et logistique a été assuré pour favoriser le dialogue entre les parties prenantes et la création de conditions de base pour des initiatives telle que le DDR (Désarmement, Démobilisation et Réinsertion). Le Fonds du Secrétaire-Général pour la consolidation de la paix (PBF), placé sous le co-leadership du Gouvernement et des Nations Unies a joué un rôle catalytique majeur en créant les conditions du DDR et en favorisant plusieurs initiatives de paix à l'échelle nationale et locale. L'Équipe-pays des Nations Unies et certaines ONG ont été les maîtres d'œuvre des projets initiés et financés pour ce faire. Les agences telle que l'OIM, le PNUD et l'UNICEF - sur financement du PBF, ont soutenu le gouvernement, les institutions et la société civile dans le cadre du projet conjoint pré-DDR en soutien à la mise en œuvre de l'Accord de Paix de Doha.Le PNUD a été le bras opérationnel des Nations Unies pour d’abord, mobiliser des ressources dans le cadre du Basket Fund ; et ensuite, mettre en œuvre le Projet Transition qui a joué un rôle essentiel dans l’appui au dialogue national, à la cohésion sociale, aux élections, etc. Le Haut-Commissariat pour les droits de l'Homme, le FNUAP, ONU-Femmes et d’autres partenaires ont contribué à l’instauration d’un cadre propice à la tenue d’élections libres et inclusives. Ce soutien multiforme s’est traduit, entre-autres, par des missions d’observation et des initiatives de renforcement de capacité ayant contribué à la confiance des citoyens dans le processus électoral et institutionnel. À travers ce processus institutionnel important pour la stabilité politique du Tchad, un progrès notable a également été observé en matière de représentation féminine au sein des instances législatives, avec 34 % de femmes élues députées. Ceci est une avancée significative favorisée par un environnement institutionnel propice dont la volonté politique et l’engagement résolu du Gouvernement à promouvoir la participation des femmes. Par ailleurs, les efforts conjoints des acteurs impliqués ont permis d’informer et de sensibiliser plus de huit millions de personnes à travers des outils adaptés de communication ayant encourager une participation citoyenne inclusive et éclairée. Le retour définitif à l’ordre constitutionnel ouvre ainsi une nouvelle ère pour le Tchad, marquée par un engagement renforcé en faveur de la consolidation de la démocratie et la stabilité institutionnelle comme gages de la paix et du développement durable.La paix durable et la prospérité partagée qu’elle requiert sont tributaires d’un engagement affirmé et irréversible pour la pérennisation des acquis de la transition. La gouvernance post-transition au Tchad qui repose désormais sur la décentralisation devrait garantir la pleine participation des Tchadiennes et des Tchadiens au processus décisionnel les concernant à tous les niveaux : local à travers les conseils communaux et provinciaux ; et national par l’entremise du Senat et de l’Assemblée nationale. Pour pérenniser les acquis de la transition politique qu’a connu le Tchad, il est essentiel de poursuivre les efforts en faveur de :La réconciliation nationale, y compris le dialogue avec les acteurs politico-militaire et la classe politique, le renforcement de la cohésion sociale et l’unité du Tchad, et la coexistence pacifique des communautés. La mise en œuvre de l’Accord de paix de Doha, et son ouverture aux groupes non-signataires.La mise en place d’une infrastructure nationale de paix autour du Médiateur de la République.La révision des textes régissant les élections pour la création d’un nouveau consensus autour de leur compréhension.La promotion de l’état de droit pour garantir la protection, la justice et l’équité pour tous. Réussir le pari de la décentralisation est un gage de succès pour l’ère post-transition en cours au Tchad. Pour ce faire, il est important de :Mobiliser des ressources durables pour la mise en œuvre effective de la décentralisation qui exige à la fois des ressources humaines qualifiées, des ressources matérielles pour le fonctionnement des différentes collectivités autonomes, et surtout des fonds d’investissement pour le développement local.Mettre en place un système de fiscalité locale et de gestion des ressources naturelles qui garantissent la paix locale et portent le développement socio-économique.Promouvoir une fonction publique territoriale pour s’assurer que les collectivités disposent des moyens requis pour jouer leur rôle de moteur du développement territorial.Faire de la décentralisation une opportunité de promotion de l’emploi des jeunes et des femmes, y compris le renforcement de l’employabilité et l’entreprenariat.Mettre les conseils communaux et provinciaux au centre des dispositifs décentralisés de prévention et de résolution des conflits locaux., filtered_html
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Communiqué de presse
19 novembre 2024
Allégations d'abus sexuels signalées dans les opérations humanitaires à l'Est du Tchad
N’Djamena, le 19 novembre 2024_La communauté humanitaire a été informée de la publication d’un article de l’Agence de presse américaine Associated Press sur des allégations d'abus sexuels impliquant des acteurs humanitaires et des agents de sécurité à l'Est du Tchad, notamment dans les sites des réfugiés de la ville d’Adré, département d’Assoungha. Le Tchad, en collaboration avec les acteurs humanitaires applique la politique de « Tolérance Zéro » contre l’exploitation et les abus sexuels. Depuis janvier 2024, le Tchad dispose d’un cadre robuste pour prévenir et répondre à ces crimes notamment d’une stratégie inter-agences d’un plan d’action Collectif ainsi que d’un mécanisme de signalement précoce et de réponse aux allégations d’exploitation et abus sexuels. Ces directives ont déjà été vulgarisées auprès des organisations humanitaires et les Organisation de la société civile partenaires. Face a la gravité des allégations citées dans l’article de presse, des mesures ont immédiatement été renforcées. Le niveau d’Alerte-Risque pour la protection contre l’exploitation et les abus sexuels ont été rehaussé au niveau 4 (Très élevé), considérant que le Tchad est déjà classé comme pays à Haut risque d’exploitation et d’abus sexuels. Le Coordonnateur Résident et Coordonnateur Humanitaire au Tchad, Dr Francois Batalingaya, tient à exprimer qu’il est impératif que des mesures immédiates et fermes soient prises pour enquêter sur ces allégations et punir sévèrement tous les coupables. « Les réfugiés sont déjà vulnérables et traumatisés par les événements qui les ont poussés à fuir leur pays, et ils ne doivent en aucun cas être victimes d'abus de la part de ceux qui sont censés les aider. Nous prenons cette affaire très au sérieux et avons immédiatement lancé une enquête interne pour faire toute la lumière sur ces allégations. Nous coopérons pleinement avec les autorités locales et les organismes de protection des droits de l'homme pour garantir que toute personne responsable de ces actes odieux soit traduite devant les juridictions compétentes. La confiance des réfugiés dans les actions humanitaires est primordiale et doit être préservée à tout prix pour assurer la protection et le bien-être des populations affectées. » Les acteurs humanitaires, à travers le réseau national inter-organisations de la PEAS (Protection contre l’exploitation et les abus sexuels), condamnent fermement tout abus, exploitations ou violences sexuelles commis par leur personnel. Ils s’engagent à continuer à mettre en place des mesures préventives et à renforcer les protocoles pour garantir la sécurité et la protection des communautés ainsi que le respect des droits humains. Afin d’assurer une protection et une prise en charge holistique des victimes, le Réseau National inter-organisations de la PEAS, encourage toute personne ayant des informations sur de tels actes à se manifester en toute confiance auprès des autorités compétentes ou de contacter via les canaux de plaintes dédiés dans les zones d’accueil des refugies y compris dans les sites aménagés ou le point focal PEAS pour tout cas impliquant un personnel d’une organisation humanitaire. Aussi, le numéro vert/gratuit de la Maison de la Femme 1390 peut être utilisé pour tout cas EAS impliquant un délégué de l’Etat Tchadien. Le Réseau National inter-organisations de la PEAS reste vigilant et déterminé à agir avec fermeté pour garantir un environnement sûr, respectueux pour tous. Les acteurs humanitaires au Tchad tiennent à informer les partenaires, les bailleurs de fonds et le public de l'évolution de cette affaire. Ils réaffirment leur engagement envers les communautés et s’engagent à lutter contre toute forme d’abus et de violence., filtered_html
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Communiqué de presse
09 octobre 2024
Inondations au Tchad, CERF alloue 5 millions de dollards.
N'Djamena, 9 octobre 2024 – A la suite de la réunion d’urgence convoquée le vendredi 4 octobre dernier par le Premier Ministre en rapport avec les inondations fluviales attendues, l’Equipe Humanitaire Pays du Tchad a activé un cadre d'action anticipatoire pour atténuer l'impact immédiat des inondations sévères attendues à N'Djamena. La Coordonnatrice des secours d'urgence par intérim, Joyce Msuya, a approuvé une allocation de 5 millions de dollars du Fonds central d'intervention d'urgence (CERF) pour soutenir cet effort.Cette initiative pionnière au Tchad marque un tournant dans la manière dont les Nations Unies et leurs partenaires répondent aux crises climatiques. Grâce à cette activation, plus de 230 000 personnes vulnérables à N'Djamena pourront recevoir une assistance cruciale pour réduire l'impact sévère de la montée des eaux du fleuve Chari. Ainsi, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux réfugiés (UNHCR) assistera les personnes ayant perdu leurs abris ou biens essentiels et le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) évaluera les besoins en Eau, Hygiène, et Assainissement au profit des communautés les plus touchées, et s’associera au Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) pour contribuer à l’amélioration de la protection des femmes, des enfants, et des personnes vulnérables. L'Organisation mondiale de la santé (OMS), va travailler en collaboration avec l'UNFPA pour répondre aux besoins en santé des sinistrés. L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) appuiera les ménages à risque d'insécurité alimentaire pendant que le Programme alimentaire mondial (PAM) évaluera la vulnérabilité des communautés à travers des critères tels que la qualité des maisons et l'accès aux ressources, en collaboration avec les chefs de communauté et les organisations locales. Enfin, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) distribuera des articles ménagers essentiels et sensibilisera les populations touchées aux bonnes pratiques d’hygiène.« L’activation du cadre d'action anticipatoire est une première au Tchad ! Cela démontre notre engagement à agir avant que le désastre ne frappe », a déclaré François Batalingaya, Coordonnateur résident du système des Nations Unies au Tchad et Coordonnateur humanitaire. « Cette approche proactive réduira les souffrances et sauvera des vies en fournissant une aide avant que le pire n’arrive. Nous espérons en tirer des leçons pour étendre cette approche a d’autres régions du pays à l’avenir. », a-t-il projeté.Le Tchad connaît actuellement l'une des pires crises d'inondations en Afrique de l'Ouest et du Centre, avec près de 2 millions de personnes touchées, au 1er octobre 2024. Les inondations ont gravement affecté les moyens de subsistance, détruit des infrastructures et déplacé des milliers de personnes. En plus de cette allocation d'action anticipatoire pour les inondations fluviales à N'Djamena, le CERF soutient également la réponse aux graves inondations pluviales dans les provinces les plus sévèrement touchées du Lac, du Mandoul et du Mayo Kebbi Est, avec une allocation de 8 millions de dollars, sous la fenêtre réponse rapide. Les besoins humanitaires au Tchad restent critiques, et cette activation représente une étape essentielle dans la réduction de l'impact des chocs climatiques dans la région.Ainsi, ce sont au total 13 millions de USD qui auront été mobilisés à travers le CERF, avec l’appui de OCHA, pour soutenir la réponse globale aux inondations cette année. Pour plus d’information, veuillez contacter :Catherine ArseneauChargée de Reporting et Plaidoyer, OCHA, catherine.arseneau@un.orgPascal Dohou FersoSpécialiste de la Communication, Bureau du Coordonnateur Résident, pascal.ferso@un.org , filtered_html
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Communiqué de presse
09 septembre 2024
Des travailleurs humanitaires enlevés dans la province du LAC
Il a été porté à ma connaissance que plusieurs personnes dont des acteurs humanitaires, précisément six agents de l’ONG ALIMA-ALERTE SANTÉ auraient été enlevées le samedi 7 septembre 2024 par des éléments de groupe armé non-étatique (GANE) lors d’une incursion à Fende 2, une localité située à environ 8 km de Kiskra dans la sous-préfecture de Liwa, département de Fouli (province du Lac). Des six agents tous de nationalité tchadienne, dont un aurait été abattu, trois se seraient échappés des mains des ravisseurs, et les collègues et familles sont sans nouvelles des deux autres, des femmes, jusqu’à ce jour. Je condamne avec la dernière énergie cette première attaque perpétrée sur des travailleurs humanitaires à Fende 2. C’est d’autant ignominieux que ces acteurs non-étatiques aient pu s’en prendre à des agents dévoués dont la seule vocation est de soulager la souffrance humaine dans cette partie du Tchad où les besoins humanitaires sont immenses. J’appelle instamment ces ravisseurs à libérer, sans condition, les deux collègues dont nous restons sans nouvelle.Je rappelle que porter atteinte à la vie des acteurs humanitaires est considéré comme un crime de guerre et, tôt ou tard, les auteurs de telle forfaiture devraient répondre de leurs actes devant l’histoire. Tout en remerciant le gouvernement pour ses actions visant la protection des civils en général et des acteurs humanitaires en particulier, sur toute l’étendue du territoire tchadien, je salue particulièrement les actions en cours pour retrouver les deux travailleurs humanitaires dont nous sommes sans nouvelles. Les ravisseurs devraient être retrouvés, au plus vite, et présentés à la justice pour subir toute la rigueur de la loi.N’Djamena le 9 septembre 2024Dr. François BatalingayaCoordonnateur Humanitaire au Tchad, filtered_html
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Communiqué de presse
23 juillet 2024
Dr François Batalingaya a présenté ses lettres de créance au Président de la République S.E. M Mahamat Idriss Deby ITNO
N’Djamena 23 juillet 2024_Le nouveau Coordonnateur résident du système des Nations Unies et Coordonnateur humanitaire au Tchad Dr. François Batalingaya a présenté ses lettres de créance aujourd’hui au cours de la cérémonie de présentation des lettres au Président de la République, Chef de l’Etat, S.E.M Mahamat Idriss Deby Itno.Au cours de cette cérémonie couplée à une audience, Dr. François Batalingaya a saisi l’opportunité pour réitérer l’engagement du système des Nations Unies à soutenir le Gouvernement tchadien et le peuple tchadien dans son ensemble à atteindre pleinement ses objectifs et engagement conformément à la vision du Tchad que nous voulons et qui définit dans le Plan National de Développement. Il a aussi, fait mention que l’ONU est préoccupée par les différentes crises que fait face le Tchad, notamment : La crise Humanitaire, la crise alimentaire et nutritionnelle, le changement climatique et bien d’autres qui sont des menaces et pèsent sur les efforts du gouvernement tchadien vers l’atteinte des Objectifs du Développement Durable (ODD) à l’horizon 2030. Dr. Francois Batalingaya projette durant son mandat au Tchad d’accompagner le pays pour un envole socio-économique, du développement durable avec espoir que les filles et fils du Tchad vivent sereinement dans la paix, la cohésion sociale conformément aux objectifs et résultats identifiés de commun accord dans le Plan cadre de coopération des Nations Unies pour le développement Durable du Tchad (UNSDCF 2024-2026) en lien avec la Vision du Tchad que nous voulons. Le Chef de l’Etat, le Président de la République S.E.M Mahamat Idriss Deby Itno, a exprimé sa satisfaction quant à la traditionnelle collaboration avec le système des Nations Unies. Dr François Batalingaya a pris ses fonctions de Coordinateur Résident du système des Nations Unies et Coordinateur Humanitaire au Tchad le 15 mars 2024, après avoir passé un peu plus de trois ans aux Comores comme Coordonnateur résident des Nations Unies. Il était auparavant Chef du Bureau des Nations Unies pour la Coordination des Affaires Humanitaires (OCHA) en République centrafricaine. Dr François dispose d’une expérience professionnelle de 30 ans dans les domaines du développement international et de l’action humanitaire. Avant de rejoindre les Nations Unies, il a travaillé pour les ONGs GOAL Global pendant deux ans (1993 – 1995) et World Vision International pendant 23 ans (1995 – 2018). Il a occupé plusieurs postes de direction dont celui de Chargé de programmes en Uganda, Libéria, et Mozambique ; Directeur pays en Somalie et au Kenya ; Directeur régional des secours d’urgence pour l'Afrique de l'Ouest basé à Dakar, et Directeur principal des affaires humanitaires basé à Washington, DC. Il a été simultanément professeur-auxiliaire à l'Université Eastern à Philadelphie aux États-Unis pendant 15 ans (2004 – 2019), enseignant le cours d’Assistance humanitaire et atténuation des catastrophes et urgences humanitaires complexes.Dr François est titulaire d'un doctorat en politiques de santé publique de l'Université Walden à Minneapolis, d'un diplôme de 3e cycle en recherches en sciences sociales de l’Université Lancaster au Royaume-Uni, d’un diplôme d'études supérieures en assistance humanitaire de l'Université Fordham à New York, et d'une maîtrise en santé publique de l'Université Tulane à New Orleans, USA. Marié à Epiphanie et père de trois jeunes adultes, François parle français, anglais et portugais. **********Pour plus d’information s’adresser à :M. Dohou Pascal Ferso, Chargé de Communication pour l’appui aux programmes et de sensibilisation. Tel : 66 66 16 71 Email : pascal.ferso@un.org A Propos : L’ONU au Tchad Le Tchad est membre de l’Organisation des Nations Unies (ONU) depuis le 20 septembre 1960. En tant que partenaire impartial et de confiance, l’ONU appuie le gouvernement et le peuple tchadiens dans la mise en œuvre des politiques nationales pour répondre plus efficacement aux défis majeurs de développement et humanitaires auxquels le pays est confronté. Seize agences onusiennes sont actives au Tchad. La majorité a des bureaux à N’Djamena et à l’intérieur du pays. , filtered_html
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